Avez-vous lu?

Voyez la conclusion de mon aventure canadienne à
http://www.annyaucanada.blogspot.com/

Et voyez la suite! Mon aventure en Amérique du sud!
http://www.annyenespagnol.blogspot.com/



vendredi 15 février 2008

Puisqu'il le faut.

C’est à contrecœur que je termine ce blog.
Je n’y suis plus.
Je ne suis plus Anny au pays des kiwis.
Je suis Anny qui va vers une nouvelle aventure.

J’ai quitté ce pays en en laissant une partie de mon cœur.
Devrais-je dire que j’ai quitté le pays en en apportant une partie dans mon cœur.

J’ai mis mon cœur dans ce blog, j’ai mis mon cœur dans cette aventure.
Déjà je m’en ennuie et j’ai le cœur gros.
J’espère de tout cœur y retourner.

Dans les prochains jours je mettrai en ligne un nouveau blog pour la suite de mon aventure.
Le lirez-vous ?

Voilà, puisqu’il le faut. Ceci est mon dernier message.
Et voici mon conseil : « faites-le avec du cœur.»

Merci d’avoir partagé la Nouvelle-Zélande avec moi.
Et, si vous la voyez, embrassez-la pour moi et dites-lui que je l’aime.

Ce que je n’ai pas dis : en rafale.

L’argent et la monnaie.

Voilà les billets ; je les ai pris en portrait, à mon arrivée, dès la première journée.

Les coupures :

La monnaie
- 10 cents
- 20 cents
- 50 cents
- 1 dollars
- 2 dollars


Les billets :
- 5 dollars
- 10 dollars
- 20 dollars
- 50 dollars
et certainement d’autres que j’ai pas eu en ma possession !

La taille varie avec la valeur des billets ; les petits billets, les petites coupures.
Le 10 cents ressemble au un cent canadien.
Les figures maories remplacent le castor, mais Elizabeth reste !

Et, puis, on arrondi !
Comme le plus petit change est 10 cents, il faut toujours arrondir. La première fois c’est surprenant ! Mais on s’y fait… et ce n’est pas si dérangeant de ne pas avoir trop de monnaie.

Une chose qui m’a surprise dès mon arrivée est certainement le coût de la vie.
Je ne sais pas à quoi je m’attendais…
On ne m’a jamais dit que c’était pas cher !
Le gaz est toujours autour de 1.70$ le litre.
La nourriture coûte cher, même les produits locaux, à moins de l’acheter en bord de route directement chez le cultivateur.

Il n’est pas rare de payer autour de 20$ pour un petit déjeuner au resto, et pour ce prix, l’assiette de déborde pas ! On est loin du bon vieux déjeuner de trucker !
On calcule le prix des loyers à la semaine et c’est en moyenne plus cher qu’à Montréal…
Et les salaires ne sont pas renversants !

Par ailleurs, pour les vêtements… moi, j’aurais fait une razzia !! Je trouvais vraiment beaucoup de belles choses et des choses pas chères ! Mais, j’essai c’était pas le meilleur contexte pour acheter… car j’essayai de diminuer le contenu de mon sac !

La taxe est incluse dans le prix de vente et ici on ne donne pas de pourboire, on peut bien entendu, mais ce n'est pas attendu.


La vie marine.

Je voulais en parler depuis longtemps… J’ai vu des dauphins ! Le savez vous ?
Une fois sur le traversier, la première fois, alors que j’étais avec Maren.

La deuxième fois, c’était tout simplement incroyable ! J’étais avec Chris. Je revenais d’une journée de congé.
Il interrompit la conversation pour me dire que c’était ma journée de chance.
Ma journée de chance... mais de quoi parlait-il ?
Puis il m’annonça le peloton de dauphins à l’entrée de la baie.

Nous nous dirigions tranquillement. Une centaine de dauphins. Il devait mesurer autour de 4m. Le bateau faisant 4.20m, il était facile de comparer. Nous voguions tranquillement à travers le banc de dauphins, parfois ils nous suivaient, parfois ils faisaient des pirouettes pour nous. Ils n’allaient nulle part. Ils ne faisaient que jouer. Là. Au milieu de la baie. Je n’en croyais pas mes yeux.
Chris me suggéra de sauter, mais avec mes verres de contact et sans masque, je me dis que j’allais de toute façon perdre un peu trop de l’expérience. Je restai, sans mot et à bord du bateau.
Puis Chris remis le moteur à l’eau, bien bas. La vague créée par le moteur attira les dauphins, si bien, que 5 des immenses dauphins suivis la vague. Littéralement, ils surfaient sur la vague
créée par le moteur. Ils nous suivirent durant plusieurs minutes, assez pour m’impressionner et imprégner de mémorables souvenirs.

La troisième fois, j’ai déjà raconté l’histoire… c’était durant le séjour avec le quatuor de touristes à bord du Parore. Alors que nous suivions le peloton de dauphins et que la musique classique jouait dans ma tête… ceux-ci allaient quelque part, nous étions les observateurs. La fois précédente, nous étions les observés.

J’eu entre ces deux fois, un peloton de baleines. Un autre de mes jours de chance. Le jour où j’ai acheté ma caméra. Je fis mon premier film. D’abord, nous eûmes l’impression de suivre des dauphins, mais le rythme était différent… ce n’était pas des dauphins mais bien des baleines. Nous les suivions durant un moment, mais enfin, nous les laissions poursuivre leur chemin, et nous poursuivions le nôtre.

Parlant de vie marine, je pourrais aussi parler de raies, d’étoiles de mer, de pauas, de homards, de pétoncles et de jelly fish. Mais si vous m’avez suivi attentivement ; vous connaissez déjà ces histoires.


Le paradis du Backpackers.

La Nouvelle-Zélande est sans contredit le paradis du backpacker… il y a des auberges partout partout partout ! Et les compagnies de transport pour touristes sont multiples… ça va de kiwi expérience à Magic bus en passant par la flexi-pass ou le naked bus. Il y a des tonnes de possibilités ! Sans compter toutes les possibilités de location de campers ou de voitures…
Les chauffeurs d’autobus, jouent les guides touristiques, nous invitant à regarder à droite ou à gauche pour telle ou telle chose.


Et je n’ai parlé que très peu des arbres, des fleurs, du mangé, des toilettes, des maoris et des cigarettes roulés à la main… Il y a tant de chose que je n’ai pas dites.
Je m’en veux de ne pas l’avoir fait à ce moment.

Maintenant, tout me semble loin.

jeudi 14 février 2008

Mon jour de la marmotte

13 février


Dernier matin à Auckland. Je mis mes bagages dans le placard à bagages et j’allai me balader. Je marchai plusieurs heures dans la ville, à tourner en rond, à découvrir de nouvelles rues. J’arrêtai au magasin Katmandu, faire l’achat de petits trucs nécessaires à la suite de mon voyage. Puis après plusieurs heures à tourner en rond, je rentrai à l’auberge.

Je recroisai un irlandais rencontré la veille. Je discutai encore avec lui un brin, puis je décidai d’aller prendre une bière pour passer mes dernières heures ici. Sur une terrasse au soleil, profitant de mes dernières heures d’été ; avant de revoir l’hiver, celui de Vancouver.

Le rouquin frisé aux yeux verts, le profil parfait de l’irlandais, proposa de se joindre à moi. Aller pourquoi pas passer mes dernières heures à Auckland avec un irlandais dans un pub irlandais ?
Ce fût une bonne décision, car il était vraiment de bonne compagnie. Je passai un bel après-midi.
Puis, il fût temps de récupérer mes bagages et de me diriger vers la navette. L’ami me proposa un coup de main que je ne refusai pas. Puis, dans une galanterie des plus attentionnée, il prit le sac le plus lourd, téléphona à la compagnie d’autobus pour être bien certain que j’étais au bon endroit, alla demander des informations et installa mes sacs dans l’autobus ; une fois le véhicule arrivé.

Je dis bien une fois le véhicule arrivé, car j’ai bien cru qu’il ne viendrait pas !
Je revoyais en boucle mon départ de Québec, quand je m’étais fait une commotion en m’assommant avec la porte de ma van. Puis mon départ de Vancouver, quand j’avais laissé mon sac contenant mon billet d’avion, mon portefeuille et mon ordinateur dans une ruelle du centre-ville.
Il devait y avoir des navettes au 20 minutes… j’ai dû manquer celle de 17hre de peu, celle de 17h20 ne passa pas et j’attendais grandement celle de 17h40, car une heure de route me séparait de l’aéroport, et mon vol était à 20hre. Alors, je commençais à regarder ma montre fictive.
Mais enfin, la navette arriva. Je remerciai et saluai mon nouvel ami de la journée.
J’étais en route pour l’aéroport.

Le vol parti un peu en retard. L’avion n’était pas plein, j’étais seule dans ma rangée, accotée dans mon hublot.
Je regardais les lumières de la ville d’Auckland, je versai une larme en pensant à tous ceux que j’ai rencontré ici. A ceux que la vie ne remettra pas sur mon chemin.
Le souper n’était pas super… mais avec Air New Zealand, l’alcool est gratuit. Je pris un bourbon, mon nouveau drink. J’écoutai un film : Into the wild… C’est bon. Et, je m’endormis… ce ne fut pas une bonne nuit. Habituellement, je dors bien partout.

Puis on me servi mon déjeuner du mercredi 13 février. Encore. On était encore le 13 février. La journée commençait. J’arrivai à Vancouver vers 13hre. Le temps de récupérer les bagages et de passer les douanes, il était presque 14hres.
Je téléphonai à Elsie, l’amie de mon amie Gichang. C’est aussi eux qui m’avaient reconduit à l’aéroport quand j’ai quitté pour la Nouvelle-Zélande, il y a trois mois.
Gichang était à son nouveau travail, Elsie venu seule. J’avais un peu faim, une nuit sans nuit et deux journée dans la même… les sushi étaient une excellente idée. Je revus Gichang derrière son comptoir de sushi et nous nous promîmes cette fois-ci, d’aller enfin manger du coréen !

Elsie me reconduit au terminus d’autobus, d’où j’envoyai mon trop plein de bagages et je marchai jusqu’au skytrain. Le métro aérien de Vancouver. Et je me rendis au centre-ville. Puis je marchai dans la ville, telle une véritable touriste avec mes deux sacs à dos ; l’un devant, l’autre derrière. Et, j’abouti à l’auberge de jeunesse. Dans un coin de la ville que j’aime.
Je marchais et j’allais prendre mes courriels dans un des cafés que je fréquentais souvent durant mon mois ici.

Je sens le froid, le nez un peu rouge, mais Vancouver m’accueille par une belle journée. Je fis tout de même l’achat de gants magiques ! Et je poursuis mes petits achats ; un cadenas, de l’onguent, des pansements, des kleenex, des piles. La liste va dans tous les sens, par en haut, par en bas… je devrais aussi faire l’achat d’une montre. Je ne porte pas de montre depuis… ouf ! 6 ou 7 ans ! J’utilisais mon cellulaire, lorsque vraiment nécessaire… mais je crois avoir fait sauter mon cellulaire en essayant de le charger en Nouvelle-Zélande, je vais voir demain quand je vais téléphoner chez Bell, « l’excellent service à la clientèle ! » J’ai celle de ma mère, elle est dans mes bagages… peut-être ne ferais-je que l’achat d’une pile… mais je ne suis pas certaine… une montre en or à mon poignet en Amérique latine…

Je fus dépaysée par la noirceur, à peine 6hre et il fait noir. Il faisait noir à 10hre hier ! Quelques heures d’internet, et je débutai mes recherches pour un micro dictionnaire français-espagnol…hum… Il semble bien que je ne trouverai pas ça ici !

Encore une fois affamée, j’arrêtai pour une pointe de pizza.
Me revoilà dans une grande ville, quelle triste constatation ; une femme qui fouillait dans les poubelles du resto pour trouver des croûtes de pizza, alors que la pointe au complet est 1.50$. Je mangeais ma pointe et je décidai d’aller lui offrir une pointe au complet. Plus que les bouts de croûtes et de frites qu’elle pouvait trouver dans le sac à poubelle. Je payai et je partie.

Retournant vers l’auberge, rue Grandville. Je vis une affiche à l’entrée annonçant une soirée pour les gens de l’auberge. Le bar était la porte voisine.

Je m’approchai du groupe de voyageurs et bien vite je me rendis compte que j’étais trop vieille ! On jouait à « as-tu déjà fait ? » un jeu pour boire vite de l'alcool, en version anglaise, bien entendu ! Alors, je souris simplement en disant que je reviendrai plus tard !

Je m’installai donc au bar, dans ce bar vide, pour écrire un peu.

Je suis bel et bien revenue.
Je ne suis plus triste.
Je pars dans 6 jours.
J’ai commençai ma recherche de couchsurfing.

Je ne vais qu’effleurer l’hiver, et je saurai l’apprécier, ne craignez pas.

Alors mon 13 février se résume en 2 journées en une seule. Deux fois le 13 février, un en été, un en hiver. C’est mon jour de la marmotte…

mercredi 13 février 2008

C'était eux!

Flight of the Conchords, c'était eux! Mes fameux famous!

Vive la couleur !

12 février
Arrivée à Auckland, affamée, le chauffeur de taxi, originaire de l’une des Iles environnantes était pas mal perdu. J’ai bien fermement tenu bout et je lui ai dit que j’arrêtais de payer maintenant, mais que je ne débarquais pas ! Il etait un peu trop perdu... plus que moi qui n'etais jamais venue!
Je suis arrivée dans mon hôtel chinois, au cinquième étage, vue surprenante sur le parc et la ville, la ville qui ne me semble pas si grande. Ma navette est bouquée pour l’aéroport de demain.
Je me suis baladée dans la ville.
J’ai mangé un excellent falafel servi par un duo Turque.
Et j’ai fondu sous le regard, et devant le sourire, de l’un des plus beaux hommes à turban que j’ai vu de ma vie.
Me revoilà en ville, à travers cette fantastique diversité culturelle !
Je termine ma balade à travers Auckland dans un pub irlandais, je me dis : « Pourquoi pas ? »
On ne s’en rend pas compte, mais c’est plate juste du blanc !
Je ne m’en rendais pas compte non plus, mais ça manquait un peu de couleur !

Comment peut-on passer à côté ?

11 février

Hier n’était finalement pas ma dernière visite sur les plages de la Nouvelle-Zélande… J’eu droit à une autre visite sur la plage et un superbe couché de soleil en mangeant mon dernier fish and chips. LE plat par excellence des néo-zélandais.
Une idée du mari de mon ami pour souligner mon départ. J’étais heureuse de sortir, j’aime ça les sorties ! Ma dernière soirée à Gisborne.


Mes valises sont bouclées. Je suis assez satisfaite du ménage de mon sac ! J’en retourne plus que j’en garde ! C’est une bonne nouvelle !


J’ai visité la Nouvelle-Zélande durant trois mois. Je me disais au pays des brebis, du rugby et des kiwis. Et, bien je n’ai pas vu de Rugby, et je n’aurai pas vu de kiwis non plus ! Sauf ceux empaillés au musée ! Un autre incontournable de la Nouvelle-Zélande est le surf. Et bien, ça non plus j’en ai pas vu ?
Heureusement, j’ai vu des brebis ! Faut dire que pour les manquer il faut se déplacer les yeux fermés ! Il y en a partout !

Alors je serai bel et bien restée en ici durant trois mois en manquant trois incontournables du pays !
Voilà, c’est dit… je devrais revenir !

Avant de mettre les voiles

10 février
Je me prépare à quitter la nouvelle-Zélande.
Je suis de retour à Gisborne, mon premier véritable arrêt.

Ces trois mois se sont envolés, partis en fumée, volatilisés.
En même temps, je sais que j’en ai profité, que j’ai savouré chaque des moments, comme plusieurs me disait de le faire.
Mais, non, je ne l’ai pas fait parce que vous me le demandiez, je l’ai fait car il n’y avait pas d’autre moyen de le vivre.
J’ai rencontré beaucoup de personnes, de belles personnes.
J’ai visité, joué la touriste, j’ai travaillé, je me suis amusée, j’ai appris ; j’ai vécu, j’ai réfléchi et j’ai respirer.
Par moment, j’ai mis la main sur le cœur pour le sentir palpiter de bonheur. Hum ! Que j’aime cette sensation.
Quand le cœur fait « Boum ! ».
Comme parfois, quand on peut sentir le cœur d’un ami battre en cadence contre sa poitrine, lors d’une sincère accolade.
« - Rodrigue, as-tu du cœur ? »
J’ai toujours adoré cette phrase.

Il ne me reste que quelques jours en Nouvelle-Zélande, rien que 2.
2 jours sur trois mois.
Je suis revue à Gisborne vendredi soir, le 8 février.

Billets en poche, nous avions une sortie !
Un concert de musique, des artistes de la Nouvelle-Zélande, dans un vignoble !
Le vin était bon, le ciel était beau, la musique était bonne et j’étais en compagnie de mon amie ; heureuse de la retrouvée. Et de l’ami allemand rencontré sur ma route.
Il y eut une soirée burger canadien, généreux, juteux et succulents.

J’ai une pensée pour mon amie Geneviève… chaque fois que je mange un burger je pense à Geneviève.
J’ai eu l’un de mes meilleurs burgers avec elle ! De bons burgers maisons, rempli de fins ingrédients…Alors que nous nous apprêtions à prendre la première bouchée, Geneviève se leva et mis la musique. Une musique de choix…
« C’est quand le bonheur ? » de Cali.
Ce jour là ; le bonheur était chaud, juteux et dans notre assiette ! Rien de moins !
Puis ; ma dernière visite sur la plage de Gisborne.
Puis ma derniere visite sur une plage de la Nouvelle-Zélande.
Une nouvelle plage pour moi, à Mahia, à environ une heure de Gisborne.
J’ai pris le temps de savourer ma sortie de la plage.
Félicitant le scénographe pour les superbes décors.

Nous terminions cet arrêt, Marie-Pierre et moi, dans un hot spring sur la route.
Ma journée de demain est remplie de petites choses et de 2 grosses. 2 grosses valises à faire !
Je remballe le tout. Je remonte vers Auckland, l’aéroport.
Je n’y serai pas plus d’une journée.

Ces derniers jours, depuis mon départ du Cat-a-Rac, je fais des bilans et je me remémore mes bons souvenirs, mes aventures. Rien de chiant ! Je ne suis pas à faire des listes. Je les apprécie de nouveaux.

Je me dirige vers une toute nouvelle aventure. Et, toute une aventure ! Plusieurs l’on fait, il n’y a rien d’extraordinaire, mais pour moi, j’y vois une suite logique.

Bien que je suis un peu triste de terminer ce qui m’a autant plu, mais forte heureuse de voir, enfin en ma prochaine aventure, un défi.

Défi de communication, plus grand que celui de l’anglais.
Défi de culture, plus qu’ici ou au Canada anglais.
Et le défi de bien terminer mon voyage.
Je suis en phase préparation.

Faire mon sac à dos sera une étape importante, je réduis encore le contenu de mon sac, ça j’ai bien hâte.
Les chauffeurs d’autobus blaguaient souvent en supposant que je traînais des roche ou encore un corps mort… et bien j’y vois une belle métaphore.
Je vais alléger mon sac ; je sors les roches et les corps morts !

Alors j’en suis à l’étape finale, l’après repas ; je digère ces exquis moments, avant de mettre les voiles.
Ma semaine à Vancouver sera bien remplie, préparatifs, vaccins, achats, renvoyer mon vélos… là la liste commence à se faire… Longue !